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Revue de presse - semaine du 18 au 22 février

Publié par Aude Guesnon le | Mis à jour le
Revue de presse - semaine du 18 au 22 février

Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus cette semaine sur le Web et susceptibles de vous intéresser car ayant trait à la relation fournisseurs, à la RSE, à la commande publique, etc. Bonne lecture !

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Devoir de vigilance : le cas de Total, attaqué sur le changement climatique, fera-t-il jurisprudence ?

Depuis 2018, Total, comme toutes les grandes entreprises françaises, doit publier un plan de vigilance qui met en avant les risques que peuvent poser ses activités en matière de droits de l'Homme et d'atteintes à l'environnement. Mais suite à son premier exercice, le pétrolier se faisait interpeller en octobre par un collectif d'associations et d'élus pour ne pas avoir intégré le changement climatique à son document. Celui-ci menace d'une action en justice pour contraindre la multinationale. Dans une lettre datée de janvier, Total explique que son Conseil d'administration a "convenu que le plan de vigilance qui sera contenu dans le rapport de gestion publié en 2019 traitera des risques liés au changement climatique" pour ses activités. En 2018 en effet, si le pétrolier avait bien pris en compte ce risque dans son rapport de gestion annuel, dans sa déclaration de performance extra-financière ainsi que dans son reporting TCFD (sur les risques financiers liés au climat), il ne l'avait pas mentionné dans son plan de vigilance. Il considère en effet que les obligations du devoir de vigilance ne concernent pas le changement climatique. Dans sa lettre au collectif, Aurélien Hamelle, directeur juridique du pétrolier, explique que ces risques sont d'une "nature différente" que ceux du droit de l'environnement et des droits de l'Homme couverts par la loi. Or, pour Marta Torre Schaub, directrice de recherche au CNRS et directrice du Réseau droit et changement climatique, raisonner ainsi est une "erreur". L'environnement est considéré de manière holistique et le droit à un environnement sain est progressivement reconnu comme un droit humain fondamental, souligne-t-elle.>> Lire l'article complet sur le site de Novethic

Baromètre au beau fixe pour la plasturgie française

Le "plastique bashing" dénoncé par les industriels ne fait pas sentir ses effets pour le moment : la consommation augmente toujours. Mais les clients des plasturgistes "réfléchissent de plus en plus" pour répondre aux critiques, assure Jean Martin, en travaillant sur des alternatives ou en développant le recyclage. Le secteur s'est engagé à doubler la part du plastique recyclé dans la production d'ici à 2025 . (...) Ces dernières années ont été marquées par un regain de compétitivité. La productivité par salarié a augmenté de plus de 2 % par an en moyenne entre 2000 et 2016, contre 1,1 % en Allemagne et 0,2 % en Italie, les deux pays leaders du secteur en Europe. Résultat, la valeur ajoutée par salarié dépasse maintenant celle des autres grands pays producteurs d'Europe, selon la Fédération. Et en 2018, la croissance du chiffre d'affaires a été supérieure à celle de la plasturgie allemande, pour la première fois depuis plus d'une décennie. Cette amélioration s'est faite au prix d'une réduction massive des effectifs : le secteur n'emploie plus que 122.000 personnes, contre 170.000 en 2002. Une partie de ce recul s'explique par l'externalisation de certaines tâches, une autre par les nombreuses fusions qui ont animé le secteur et qui ont engendré des efforts de rationalisation. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Le Brexit complique l'approvisionnement de la France en gaz

Une dizaine de ces sociétés ont basé leur bureau de trading au Royaume-Uni en raison d'un régime fiscal "bien plus favorable", écrivent Thierry Bros et Patrick Heather, chercheurs à l'Oxford Institute, y compris les plus gros acteurs du marché comme Total, BP, EDF ou Gazprom. "A moins qu'un accord spécifique sur le sujet ne soit trouvé avant le retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne, tous les fournisseurs du réseau de gaz français basés au Royaume-Uni perdront automatiquement leur autorisation le 30 mars", poursuivent-ils. Dans les faits, aucune rupture d'approvisionnement n'est en vue cependant, car plusieurs de ces sociétés ont fait les opérations nécessaires. "Le risque d'une sortie du Royaume-Uni de l'UE sans accord est identifié depuis plusieurs mois", rassure-t-on au ministère de la Transition écologique. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Coop renonce aux produits du groupe Mars

Le numéro deux helvétique du commerce de détail et ses partenaires de l'alliance de détaillants Agecore visent le groupe américain Mars. Ces derniers ont cessé de lui commander ses produits depuis plusieurs semaines. Ainsi, comme le rapporte mardi le journal alémanique "Blick" sur son site internet, plusieurs marques détenues par le géant américain, comme les aliments pour chats Whiskas, le riz Uncle Ben's, ou encore les produits à base de chocolat Twix, Bounty et M&M ont disparu des rayons de Coop. Contacté par AWP, le distributeur bâlois n'a pas souhaité prendre officiellement position sur l'affaire, tout comme Mars. Selon le porte-parole de Coop, Urs Meier, cité dans "Blick", la disparition de certains produits "est liée à des négociations que nous ne souhaitons pas commenter plus en détail". Mars a pour sa part indiqué à AWP tenir en haute estime ses relations d'affaires avec Agecore et Coop, le groupe américain souhaitant en poursuivre le développement avec ses partenaires. >> Lire l'article complet sur la Tribune de Genève

La clause Molière, de nouveau au contentieux devant le Conseil d'État

Un préfet demandait la suspension d'un marché au motif que les documents de la consultation comportaient des dispositions imposant l'usage du français portant atteinte aux principes de liberté d'accès à la commande publique, d'égalité de traitement des candidats et d'interdiction de discrimination en raison de la nationalité. La Cour administrative d'appel avait suspendu l'exécution du marché au motif qu'un article du règlement de la consultation qui disposait que "la langue de travail pour les opérations préalables à l'attribution du marché et pour son exécution est le français exclusivement" était de nature de violer les libertés fondamentales garanties par le Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. Cependant, le Conseil d'État revient sur cette position au motif que les dispositions du règlement de la consultation, lequel n'a pas de valeur contractuelle, "régissent seulement les relations entre les parties au contrat et n'imposent pas le principe de l'usage de la langue française par les personnels". >> Lire l'article complet sur le site de Weka

Le palladium, ce métal précieux le plus cher du monde

Cette fois, le record est battu. Le cours du palladium a franchi pour la première fois de son histoire les 1 500 dollars l'once, mercredi 20 février à la Bourse de Londres. Il vaut désormais plus cher que l'or, dont l'once se négocie autour de 1 343 dollars. En l'espace d'un an, le cours du palladium, qui est sans doute le moins connu des métaux précieux, a grimpé de plus de 40 % et de près de 200 % en trois ans, par crainte d'un déficit de l'offre et d'une hausse de la demande. Le palladium, ce métal gris qui fait partie de la famille des platines, sert notamment à la fabrication des pots catalytique des voitures à essence et hybrides pour réduire les émissions polluantes. Le marché est en forte progression depuis que le "scandale Volkswagen" a éclaté en 2015, avec la découverte des tests truqués de ses moteurs diesel. Et plus les normes environnementales sont strictes, plus on a besoin de palladium pour filtrer les particules dans les pots d'échappement, affirment les spécialistes. Une manne pour ce métal, alors que l'industrie automobile représente 80 % de la demande. D'autant que les autres débouchés, comme l'électronique (pour produire des connecteurs) ou la joaillerie, sont également en croissance. >> Lire l'article complet sur le site de La Croix


RSE

A l'île Maurice, la canne à sucre pour faire de l'électricité

Depuis une quinzaine d'années, la bagasse, le résidu fibreux issu du broyage de la canne à sucre, est largement mise à contribution pour produire de l'électricité, au point désormais de pourvoir à 14% des besoins de l'île. L'île Maurice dispose d'un système tout particulier pour sa production d'énergie : 60% des besoins en électricité de l'île sont produits par quatre sociétés sucrières qui font tourner chacune une centrale thermique. Ces quatre centrales tournent normalement au charbon mais quand la saison de la canne arrive, la bagasse remplace le charbon comme combustible. >> Lire l'article complet sur le site de Sciences et Avenir

Yvelines : vos eaux usées vont produire de l'énergie verte

C'est une course inattendue à laquelle se livrent les villes des Mureaux et de Versailles. Toutes deux s'apprêtent à accueillir une unité de méthanisation au sein de leur usine d'épuration respective. Si la production d'énergie verte à partir du traitement des eaux usées n'est pas nouvelle en France, ce procédé est pour le moins innovant à l'échelle du département puisque pour la première fois, du biogaz sera produit par une station d'épuration et ainsi réintroduit dans le réseau général. La compétition est donc féroce. (...) Le biogaz issu du processus de digestion des boues sera récupéré, transformé en biométhane et injecté dans le réseau public de gaz naturel. "GRDF rachète à la collectivité locale la molécule de gaz à un prix fixe", précise Stéphane Cordier. Ce procédé représente non seulement un intérêt environnemental, véritable outil de transition énergétique au niveau du territoire, mais il peut s'avérer un outil de recette fiscale pour la commune.>> Lire l'article complet sur le site du Parisien

Supply chain

Log's déploie les drones Eyesee de Hardis pour ses inventaires en entrepôt

Log's prévoit de déployer des drones sur l'ensemble de ses plateformes, à travers toute la France et dans le monde. Une démarche qui s'intègre à la politique tournée vers l'innovation de Log's avec la réalisation d'une veille constante sur le sujet, des partenariats de plus en plus rapprochés avec les fournisseurs et intégrateurs, la mise en test et le développement par ses équipes de nouvelles solutions technologiques telles que les systèmes goods-to-man, l'exosquelette ou encore le pick by vision dans l'objectif de mieux répondre aux nouvelles contraintes de ses clients, et d'inventer la logistique de demain. >> Lire l'article complet sur VoxLog

Quand les transporteurs de fret exposent leur stratégie de développement durable

"Le port de Marseille-Fos dispose de plusieurs leviers d'action : la planification stratégique, l'aménagement et la gestion des espaces, la capacité à sélectionner les usines qui s'installent et les tarifs", explique Jean-Michel Bocognano, responsable de l'activité développement durable au GPMM. Ainsi, les compagnies maritimes vertueuses bénéficient de ristournes sur les droits de port. Pionnière en la matière, la Méridionale a, dès 2013, été lauréate de la Charte bleue avant de déployer trois ans plus tard le premier système permettant de connecter les navires en escale au courant électrique. Ce premier investissement de 3,5 millions d'euros pour connecter les trois cargo-mixtes a fait des émules. Les ferries de Corsica Linea et de La Cotunav sur la Tunisie seront connectés à l'électricité de quai dans quelques mois. L'engagement de la Méridionale s'est poursuivi par une multitude d'innovations (optimisation de la propulsion, traitement des eaux de ballast, modification des pales d'hélices et des safrans, système intelligent de gestion des consommations...). >> Lire l'article complet sur le site de Actu Transport Logistique

Commande publique

Quelles sont les conséquences de l'omission de l'examen de l'offre d'un candidat ?

L'absence d'examen d'une offre d'un candidat constitue un manquement aux règles de publicité et de mises en concurrence justifiant, pour un motif d'intérêt général, la résiliation des marchés en cause. Le manquement ainsi commis a eu, compte tenu de sa gravité, une incidence déterminante sur l'attribution des marchés, de sorte que le lien entre la faute de l'administration et le manque à gagner dont la société requérante entend sur ce terrain obtenir la réparation ne peut être regardé comme direct.>> Lire l'article complet sur le site de Weka

L'Assemblée Nationale se tourne vers une start-up française pour l'échange de fichiers entre parlementaires

C'est une petite victoire pour la souveraineté européenne. De manière discrète, l'Assemblée Nationale a passé un appel d'offres pour proposer aux parlementaires français de s'équiper d'une nouvelle solution pour encadrer les échanges de fichiers. Et c'est Wimi, une start-up tricolore issue du start-up studio Adventures qui l'a remporté. "L'Assemblée Nationale a choisi l'une de nos solutions qui consiste à partager des documents avec un drive on et off line", détaille Antoine Duboscq, fondateur d'Adventures et Wimi. Cette solution, pour le moment optionnelle pour les députés et les attachés parlementaires, vient en remplacement des outils utilisés jusque-là, comme Google Drive ou Dropbox, devenus sensibles depuis l'entrée en vigueur du Patriot Act aux Etats-Unis. Celui-ci autorise la justice américaine à se saisir des données hébergées chez ces entreprises, les rendant potentiellement vulnérables. Les datas stockées par Wimi le seront en France, sur les serveurs de Scaleway. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

La région Ile-de-France veut attirer les start-up de l'énergie

SoundEnergy (Pays-Bas) est une entreprise qui développe des moteurs à chaleur et des pompes à chaleur conçus pour refroidir et chauffer les bâtiments sans utiliser d'électricité ou de gaz. De son côté, l'italien Enerbrain déploie des solutions pour mieux contrôler le chauffage, la climatisation et la ventilation dans les bâtiments, assurant plus de 20% d'économies d'énergie. "Le but est que les grands groupes puissent identifier, à travers ces échanges, des solutions innovantes et qu'ils aient envie de les exploiter, souligne-t-on à l'agence. En sens inverse, des jeunes entreprises étrangères en phase de croissance sont susceptibles de trouver des opportunités pour les aider à poursuivre leur expansion en Ile-de-France." >> Lire l'article complet sur le site du Figaro

La Ville de Paris choisit le lait bio pour toutes ses crèches

Fin janvier 2019, la mairie a renouvelé son marché de laits infantiles pour ses structures d'accueil de jeunes enfants et a décidé de passer au 100% bio. Ainsi, dès le mois de mars, les 2 300 litres de laits servis chaque jour dans les crèches parisiennes seront exclusivement bio. Jusqu'à présent, seul 1% du lait donné aux plus petits était labellisé bio. C'est la société Nestlé, qui approvisionnait déjà les crèches, qui a remporté la consultation pour une durée de quatre ans renouvelable chaque année. "Cette avancée exceptionnelle sur la voie de l'alimentation biologique et durable permet à la capitale de devenir la seule grande collectivité de France à fournir 100 % de lait bio dans les crèches", se réjouit la Mairie de Paris dans un communiqué. >> Lire l'article complet sur le site de Bioaddict

Environnement de travail

Qui sont les "transféreurs", ces praticiens de l'écologie au travail ?

Une étude sociologique a permis de mettre en lumière ce mécanisme social dans le domaine de la transition écologique : le transfert de pratiques environnementales du domicile au travail. Ces praticiens de l'écologie sont appelés des "transféreurs" : soit des individus qui mettent en oeuvre sur leur lieu de travail des pratiques environnementales dont ils sont familiers à leur domicile. On retrouve bien sûr dans cette catégorie des militants écolos qui cherchent à convaincre leurs collègues. Il faut cependant noter que c'est la recherche d'un mieux-être au travail qui reste la première raison d'agir chez la plupart de ces transféreurs. Il s'agit pour eux de réduire le décalage vécu entre leur vision d'un monde ("qui ne peut pas continuer comme cela") et leurs pratiques au travail ("qui font comme si de rien n'était"). Le transfert est en quelque sorte une réponse à une dissonance cognitive de plus en plus difficile à supporter au quotidien. Par ailleurs, on trouve chez ces transféreurs le souhait de favoriser des relations professionnelles plus conviviales, dont les pratiques environnementales peuvent être un vecteur. >> Lire l'article complet sur le site de The Conversation

Fleet / Mobilité

Téléphone au volant, attention au retrait de permis en cas d'infraction dès 2019

Désormais, l'usage du téléphone portable en conduisant sera plus sévèrement réprimandé. Le gouvernement est parti du constat que l'usage du téléphone au volant est la cause d'un accident corporel sur dix. Par ailleurs, le fait de consulter ou d'écrire un mail ou un SMS multiplie par 23 le risque de provoquer un accident dont les conséquences peuvent être dramatiques. C'est pour cette raison que le Comité Interministériel de Sécurité Routière (CISR) a établi une règle qui entrera en vigueur en 2019. Cette règle est la suivante : les forces de l'ordre pourront suspendre le permis de conduire d'un automobiliste qui est pris en flagrant délit d'utilisation de son téléphone portable s'il a commis en même temps une infraction menaçant la sécurité d'autrui. Cela ne veut pas dire que si vous utilisez votre portable au volant, en ne menaçant personne, vous ne serez pas sanctionné. Dans ce cas précis, les dispositions actuelles continueront de s'appliquer. Aussi les forces de l'ordre pourront vous infliger une amende forfaitaire de 135 euros ainsi que vous retirer trois points sur votre permis de conduire. >> Lire l'article complet sur le site de Turbo

Automobile : l'irrésistible montée du superéthanol E85 en France

Nom : E85. Surnom : superéthanol. Signe particulier : carburant automobile d'origine agricole en plein essor en France. Avec plus de 21 millions de litres vendus en janvier, cette "essence" constituée entre 70 % et 85 % d'alcool issu de betteraves sucrières ou de céréales vient de battre son record de ventes dans l'Hexagone. Ce tout premier chiffre de 2019 confirme la tendance observée l'an dernier : le superéthanol E85 suscite l'engouement. Sa consommation a augmenté de 55 % en France en 2018. Alors que le passage à la pompe coûte entre 1,42 et 1,50 euro le litre, en moyenne, aujourd'hui, de plus en plus de Français sont tentés par un plein moins cher de 50 % (0,68 euro le litre, en décembre 2018). Cela permet, par exemple, d'économiser une trentaine d'euros sur un Paris-Marseille. >> Lire l'article complet sur le site du Monde

La voiture autonome ? Une catastrophe écologique

La généralisation de ces véhicules impliquerait, pour abaisser les coûts de façon acceptable, le lancement d'une production de masse de tous ces objets, en supplément de l'électronique déjà présente dans les véhicules actuels. Aux États-Unis, la National Mining Association rappelle régulièrement aux décideurs que "la sophistication croissante des produits de l'industrie automobile va faire exploser la demande en métaux et la compétition pour ces ressources". En clair, impossible d'obtenir la matière première de tous ces superalliages sans provoquer une augmentation de l'activité minière, qui compte parmi les industries les plus polluantes. Deuxième problème : la croissance exponentielle des données (le data). La conduite automatisée repose sur de gigantesques volumes d'informations que les divers capteurs transmettent aux algorithmes de traitement d'images. Selon Brian Krzanich, p-dg d'Intel, un véhicule autonome va générer et consommer, pour huit heures de conduite, environ 40 téraoctets de données, soit l'équivalent de 40 disques durs d'ordinateur. >> Lire l'article complet sur le site de Reporterre

L'Union européenne limite les émissions de CO2 des camions

L'Union européenne (UE) va pour la première fois limiter les émissions de CO2 des camions, avec pour objectif de les réduire de 30 % d'ici à 2030 selon un accord trouvé, mardi 19 février, entre les négociateurs du Parlement européen et du Conseil. L'Association européenne des constructeurs automobiles (ACEA) a immédiatement fait part de ses "inquiétudes" face à des objectifs "très ambitieux" qui, selon elle, ignorent le manque d'infrastructures nécessaires pour assurer le développement de technologies alternatives au moteur à combustion. Selon les termes de cet accord, qui doit encore être validé par le Parlement réuni en session plénière et les 28 Etats membres, les poids lourds devront réduire leurs émissions de 15 % d'ici à 2025 et de 30 % d'ici à 2030 par rapport aux niveaux de 2019, rapporte la présidente de la commission transport du Parlement, Karima Delli, dans un communiqué. >> Lire l'article complet sur le site du Monde

La ville de Madrid passe le cap des 300 véhicules électriques

La ville de Madrid montre la voie aux collectivités locales qui ont pour projet d'électrifier leur parc automobile. La dernière opération menée par l'équipe municipale de la capitale espagnole témoigne d'une réelle ambition dans ce domaine. En janvier, 142 véhicules électriques, essentiellement des Renault Zoe et des Nissan Leaf, ainsi que 41 véhicules hybrides ont été incorporés à sa flotte. Un arrivage massif qui a fait l'objet d'une cérémonie en présence de nombreux élus de la ville. Le département Environnement et Mobilité a été le mieux pourvu avec 75 véhicules électriques (74 Zoe et un Kangoo Z.E.) et 27 Toyota Yaris hybrides. Ces 102 nouveaux véhicules font l'objet de contrats de location d'une durée de quatre ans, avec une possibilité de prolongation d'un an pour un montant de près de 2,2 millions d'euros. Les contrat comprennent la maintenance, le changement de pneus, l'assurance tous risques et le véhicule de remplacement. Ces nouveaux véhicules viennent s'ajouter aux 50 véhicules propres déjà intégrés en 2018. >> Lire l'article complet sur le site du Journal de l'Automobile

Travel

Frais ancillaires : 65 milliards de dollars pour les compagnies aériennes

Avant même la généralisation de la nouvelle norme de distribution NDC, qui doit faciliter la commercialisation des frais ancillaires, la manne financière générée par ces revenus à la carte représente la coquette somme de 65 milliards de dollars (57,6 milliards d'euros). C'est le résultat du rapport 2018 publié le 19 février par CarTrawler et IdeaWorksCompany, et basé sur les résultats de 175 transporteurs à l'échelle mondiale. Parmi eux, le contingent de compagnies européennes s'est avéré particulièrement efficace. Frais d'enregistrement bagages, attribution du siège, restauration à bord, enregistrement prioritaire, systèmes de divertissements en vol : en commercialisant ces "petits plus", les transporteurs du Vieux Continent ont généré pas moins de 22,5 milliards de dollars (19,9 milliards d'euros), relayant les transporteurs asiatiques - pourtant le deuxième marché le plus gourmand en termes de services à la carte - à 4 milliards de dollars. >> Lire l'article complet sur le site de Voyages d'affaires

IT

L'IA au service de l'industrie textile et de la mode

On compte parmi les autres innovations récentes les plus marquantes des robots-couturiers mis au point par une startup nord-américaine fabriquant des vêtements sans aucune intervention humaine. La confection de prêt-à-porter était jusque-là considérée comme impossible à automatiser en raison de la matière souple du tissu, compliquée à manipuler par des machines. Aujourd'hui, le tissu est momentanément transformé en un polymère rigide qui peut ainsi être travaillé puis replongé dans l'eau chaude pour revenir à ses propriétés initiales. Parallèlement, la marque Levi's a lancé une veste connectée au smartphone permettant de contrôler certaines applications, et la startup Omius Tech a créé un manteau ajustant automatiquement les températures en cas de changement météorologique. Cette dernière invention a été conçue en collaboration avec de célèbres cyclistes, coureurs, skieurs et athlètes. Le studio Fuseproject a, quant à lui, mis au point des vêtements adaptés Aura Powered Cothing, qui aident les personnes seniors à se déplacer, en y intégrant des capteurs corporels qui réagissent aux mouvements naturels du corps et ajoutent de la puissance musculaire à chaque geste. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune

Carrière / RH / Management... et autres

L'orthographe, un critère de sélection pour un DRH sur deux....

Les lacunes en orthographe sont des freins impitoyables à la recherche d'un emploi mais aussi à la progression de carrière. C'est ce qui ressort d'un sondage OpinionWay pour Mon coach Bescherelle - l'application du roi de la grammaire - que nous publions en exclusivité et qui sera présenté mardi à Paris à des responsables de ressources humaines lors d'un colloque. Selon cette "grande consultation sur l'orthographe et l'employabilité" menée auprès de plus de 200 DRH, la moitié d'entre eux (52 %) affirment que le niveau en expression écrite a pu jouer dans la mise à l'écart d'une candidature. Ils sont 44 % à reconnaître qu'un faible niveau d'un collaborateur a pu "susciter des remarques" et 15 % que de telles failles ont pu "freiner une promotion". >> Lire l'article complet sur le site du Parisien

La démission, le tabou français devenu tendance chez les cadres

Autour de la démission, on constate déjà un grand paradoxe: si plus de la moitié des cadres (53%) se disent ouverts à de nouvelles opportunités, ils ne sont "que" 8% à franchir le pas. Pourquoi? Parce que l'être humain, par essence, est hostile au changement et à des situations qu'il ne connaît pas... Le cadre resterait donc en poste par frilosité et par peur de l'inconnu? C'est la tendance que montre cette étude, qui entend "dresser les contours de la démission aujourd'hui", selon Frédéric Dabi, DGA de l'Ifop, qui ajoute qu'aujourd'hui "les candidats potentiels à la démission sont très nombreux": six cadres sur dix envisagent ainsi de démissionner, une proportion qui monte à... 74% chez les 18-34 ans! "Il n'y a pas de tabou chez les moins de 35 ans, on constate un réel clivage générationnel", ajoute Frédéric Dabi. Pourquoi sauter le pas? Presque quatre cadres sur dix citent des perspectives professionnelles qui ne sont pas à la hauteur, un argument suivi de près par... la rémunération. >> Lire l'article complet sur Le Figaro



 
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