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Revue de presse achats - semaine du 11 au 15 mars

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Revue de presse achats - semaine du 11 au 15 mars
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Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus cette semaine sur le Web et susceptibles de vous intéresser car ayant trait à la relation fournisseurs, à la RSE, à la commande publique, etc. Bonne lecture !

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L'abus de "cost killing" nuit à la santé des entreprises. Le cas de Kraft-Heinz

Cette méthode n'est pas sans inconvénient, car elle peut s'exercer au détriment de la croissance de l'entreprise, du développement de ses produits, des investissements en R&D et de la motivation de ses collaborateurs. Kraft-Heinz en est un exemple appelé à devenir un cas d'école. En effet, la focalisation sur la chasse au coût s'est faite au détriment de l'appréciation des tendances du marché et de l'adaptation de l'offre de l'entreprise à ces évolutions et souffre d'un manque de vision. Pendant les opérations de "cost killing", personne n'a fait attention aux évolutions d'une demande qui tourne le dos aux produits ultratransformés pour privilégier une alimentation plus saine. Warren Buffet a d'ailleurs lui-même déclaré: "Je me suis trompé" sur quelques points au sujet de Kraft-Heinz). Plus grave, cette méthode a contaminé l'ensemble du secteur de l'agroalimentaire à la demande des actionnaires alléchés par l'augmentation rapide des marges de Kraft-Heinz. L'offre de rachat avortée de Kraft-Heinz sur Unilever en 2017 a déclenché une vague de réduction des coûts chez les grandes marques de consommation européenne. Unilever et Danone ont programmé une réduction combinée de 8 milliards de dollars de leurs coûts et Nestlé sous la pression d'un investisseur activiste a fixé pour la première fois de son histoire récente un objectif de marge opérationnelle. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune

Comment les entreprises choisissent leurs avocats

La façon dans les professionnels du droit investissent les outils numériques - signature électronique, base de données partagée, intelligence artificielle - devient aussi un élément de choix, tout comme une parfaite cybersécurité. "Elle est un prolongement de notre obligation de confidentialité. Nous devons assurer la protection des données de nos clients à tout moment et sur tout support", estime Sidonie Fraîche-Dupeyrat, managing partner de LPA-CGR Avocats. Nul n'est à l'abri d'attaques informatiques et de piratages. Cibles privilégiées des hackers, les cabinets doivent prouver leur degré de sécurité par des niveaux de certification et de protection. "Nous faisons intervenir nos experts informatiques pour parfaitement traiter cette partie du questionnaire", détaille Marc Petitier, associé du cabinet Linklaters. Dans la même veine, la compliance a aussi fait son entrée dans les questionnaires des panels. Aucun audit n'a pour le moment été effectué par une entreprise dans un cabinet candidat, mais les procédures mises en place et les formations des équipes sont vérifiées de près. Surtout lorsqu'il s'agit pour la société de choisir ses conseils afin de l'accompagner dans sa propre politique de conformité. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Pourquoi transformer une centrale d'achat en marketplace ?

Le modèle marketplace est une solution innovante pour gérer l'intégralité de ses achats et maîtriser son réseau. Il offre, entre autre, l'avantage d'un catalogue et d'un réseau de vendeurs / fournisseurs centralisés. Le modèle s'applique à la fois pour une organisation centralisée comme décentralisée... Ce qui fait déjà réfléchir certains groupements d'achat du retail physique... Il permet une intégration facilité de toutes les offres d'un marché. Et entraîne une réduction des coûts d'intermédiation, des coûts de gestion des référentiels et une augmentation de la marge. Selon une étude de Claritum, si on y ajoute les gains de productivité générés par la réduction du nombre de fournisseurs et par l'automatisation du reporting, une organisation peut espérer atteindre entre 20 et 65 % de réduction des coûts de traitement de ses achats grâce à une Marketplace dédiée à ses approvisionnements ! La mise en place d'une marketplace pour une centrale d'achat est l'occasion d'appréhender que des acheteurs ou des clients placés au plus près du terrain peuvent constituer un formidable levier de performance ; à condition d'assurer un support global et d'encadrer les pratiques...>> Lire l'article complet sur le site de BoDigital

Où il est question de vous faire accepter les conditions générales de vente

En cas de litige avec un client, le vendeur doit être en mesure de prouver que ses CGV ont été portées à sa connaissance et qu'il en a accepté le contenu. En pratique, les CGV sont habituellement reproduites sur les documents commerciaux de l'entreprise. Sachant toutefois qu'il est déconseillé de les inscrire sur les factures car, par définition, ces dernières sont établies après la commande alors que l'information du client sur les CGV doit intervenir avant. Dans ce cas, un client pourrait donc être en droit de soutenir qu'il n'en avait pas eu connaissance au moment où il a fait affaire avec le vendeur. C'est ce qui est arrivé dans une affaire récente. Une société avait conclu un contrat de distribution de ses produits avec une autre société. Lorsque, 8 ans plus tard, ce contrat avait été rompu, la société avait agi en justice contre le distributeur en vue d'obtenir le paiement de factures impayées. L'action ayant été portée devant le tribunal indiqué dans les CGV de la société. Or le distributeur avait estimé que cette action était irrecevable car intentée devant un tribunal incompétent. En effet, selon lui, les CGV lui étaient inopposables puisqu'il n'en avait jamais eu connaissance et a fortiori ne les avait pas acceptées. >> Lire l'article complet sur le site des Echos Entrepreneurs

Retards de paiement des entreprises : 17,2 millions d'euros d'amendes infligés en France en 2018

En 2018, le montant des amendes a doublé. Parmi les entreprises contrôlées et sanctionnées en 2018 par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), figurent notamment le géant de l'agroalimentaire Danone (300 000 euros), l'exploitant de casinos et d'hôtels haut de gamme Lucien Barrière (330 000 euros) ou encore le groupe de commerce en ligne CDiscount (310 000 euros). Amazon France Logistique, filiale chargée de la logistique du géant américain, et Huawei Technologies France, l'entité rattachée au groupe chinois de télécommunications, ont pour leur part été sanctionnés à hauteur de 375 000 euros, sanction maximale à l'époque où les manquements ont été constatés.> >> Lire l'article complet sur Novethic

Collaborer avec les startups : les 6 clés de la réussite

Par Dmonique Scalia - Com Media- "Une innovation adoptée par une entreprise n'est utile que si elle est largement déployée. Pour accélérer sa diffusion, le client peut mobiliser des référents qui auront pour objectifs d'accompagner la start-up durant la phase de déploiement. Ils faciliteront la rencontre avec des clients internes potentiels en France ou à l'international. ils veilleront également que la nouvelle solution puisse être intégrée avec méthode et en respectant un calendrier raisonné. On l'aura compris, la réussite d'une relation naissante entre une start-up et son client passe par la transparence, la bienveillance et le respect mutuel. C'est à ces conditions que des structures aussi différentes parviendront à avancer sur des projets communs. Qu'ils donnent lieu à un déploiement effectif ou non, ils aident à maintenir les parties prenantes dans une dynamique de collaboration sur le long terme. >> Lire l'article complet sur les Echos

Digitalisation des achats : libérer des ressources!

Bien que de plus en plus de responsables achats considèrent le déploiement de plus d'applications numériques comme une priorité, il reste encore des obstacles à surmonter, selon l'enquête de SAP Ariba. Les principaux obstacles incluent: Restrictions budgétaires (46%). Analyse et analyse des données (43%).Pénurie de talents internes et manque de "savoir-faire" (43%). Gestion des données de base (40%). "Les responsables des achats s'aperçoivent qu'il est urgent de passer au numérique", déclare Marcel Vollmer, responsable du secteur numérique chez SAP Ariba. "Mais pour que cela se produise, les entreprises devront libérer davantage de ressources." >> Lire l'article complet sur le site de Digital Commerce 360

Sous pression, Amazon fait des concessions à ses vendeurs aux Etats-Unis

Selon le site Axios, la firme aurait ainsi décidé de mettre fin à sa "clause de la nation favorisée" outre-Atlantique. Derrière ce nom, un accord de prix obligeant les vendeurs tiers de son site à lui octroyer les prix les plus bas par rapport aux autres plateformes. (...) si Amazon abandonne cette pratique avant d'y avoir été contraint aux Etats-Unis, c'est d'abord en vue d'une possible enquête du même genre. En décembre dernier, le sénateur démocrate Richard Blumenthal a adressé une requête formelle au Département de la justice et à la FTC (Federal Trade Commission) pour que les deux autorités enquêtent sur Amazon. Le parlementaire jugeant que les vendeurs de sa plateforme devaient bénéficier des "mêmes protections que leurs homologues européens". Dans un tweet, ce dernier a d'ailleurs salué l'information (pas confirmée par le groupe) comme une décision "sage" et "bienvenue" de la part de l'entreprise. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Sous-traitance : les entreprises du bâtiment signent une charte de bonnes pratiques

Cette charte entend contribuer au bon déroulement des chantiers, dans un climat de confiance et de respect mutuel, avec un devoir de rentabilité partagée. Elle doit permettre aux parties de tout mettre en oeuvre pour satisfaire le client final, dans le respect des règles de sécurité et environnementales, contribuant ainsi à améliorer la qualité des ouvrages. Concrètement, cette charte passe en revue les différentes phases du chantier et liste, pour chacune d'elles (études, chantier, réception), les engagements que prennent les entreprises générales et leurs partenaires sous-traitants. Ce document comprend également des engagements mutuels sur deux sujets transversaux majeurs que sont l'environnement et la prévention-sécurité sur les chantiers. L'adhésion à la présente charte constitue un engagement moral, volontaire et individuel de chaque entreprise. En signant ce document, les parties promettent d'en assurer la diffusion et la promotion dans leurs réseaux respectifs. "Le travail de co-écriture de cette charte est maintenant terminé. Il est important de continuer à faire évoluer nos métiers tous ensemble car nous sommes tantôt entreprise principale tantôt entreprise partenaire", a indiqué Alain Piquet, président de la FFB Normandie et par ailleurs président du Conseil National de la Sous-Traitance du Bâtiment (CNSTB) de la FFB. >> Lire l'article complet sur le site de EGFBTP

Les achats, au comité exécutif de Renault

Pour construire son nouvel exécutif, M. Bolloré a décidé de conserver Clotilde Delbos, sa directrice financière, Jose-Vicente de los Mozos, le directeur des fabrications et de la logistique, et Gaspar Gascon Abellan, le directeur adjoint de l'ingénierie. Il promeut également quelques figures du groupe, comme le designer Laurens van den Acker, la directrice des achats Véronique Sarlat-Depotte, ou le directeur de la qualité Philippe Guérin-Boutaud. Enfin, il a décidé de faire entrer du sang neuf, en promouvant le directeur du marketing, François Renard, un ancien d'Unilever, le directeur des ressources humaines, François Roger, passé par Bic, et le patron du numérique, Frédéric Vincent, un ancien de Canal+. Tous ont rejoint Renault ces deux dernières années et sont des novices dans le secteur automobile. >> Lire l'article complet sur le site du Monde

Boeing fournira à l'US Navy des sous-marins robotisés d'ici 2022

Boeing, géant de l'aviation mondial, et l'US Navy se sont mis d'accord le mois dernier sur la conception de sous-marins à drones, un contrat à hauteur de 43 millions de dollars. Les Etats-Unis se préparent une flotte 2.0. Des engins entièrement robotiques, autonomes pendant plusieurs mois. Quatre sous-marins Orca XLUUV seront conçus, testés et délivrés d'ici 2022. Selon USNI News, les modèles reprennent les bases de la conception des sous-marins sans pilotes Echo Voyager, qui mesurent 51 mètres de long et sont capable de couvrir une distance de 6 500 milles marins soit 12 000 kilomètres. Ils peuvent transporter des charges de mesurant jusqu'à 10 mètres et 56 mètres cubes de volume. >> Lire l'article complet sur le site de Atlantico

[Brexit] Sans accord, 87% des importations britanniques passeraient transitoirement à zéro tarif douanier

Afin d'éviter un choc inflationniste, en cas de sortie désordonnée de l'Union Européenne, le gouvernement du Royaume-Uni a annoncé un régime transitoire de suppression des droits de douanes sur plus de 87% des produits importés. Normalement, les droits appliqués auraient été fixés pour l'UE comme pour les pays tiers en fonction des règles tarifaires de l'OMC. Ce plan vise à éviter un choc sur les prix pour les entreprises et les consommateurs qui est évalué à 9 milliards de livres. Attention, tous les produits ne sont pas concernées, puisqu'il reste 13% des importations qui seraient elles soumises à des droits de douanes (à l'exception de 70 pays en développement qui ont un accès préférentiel aux marchés britanniques). Parmi ces produits, en particulier, la viande de boeuf, l'agneau, le porc, la volaille, certains produits laitiers et les chaussures. Si les pièces détachés auto font partie des produits à zéro taxes, ce ne sera pas le cas des automobiles déjà assemblées. L'idée est de ne pas perturber la chaîne logistique de l'industrie automobile britannique. Pour une grande partie des exportateurs français, à l'exception de l'agriculture, c'est une forme d'assurance et de simplification. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle

Le plan de l'industrie pharmaceutique pour lutter contre les pénuries

En 2017, 538 signalements de rupture ou tensions d'approvisionnement ont été recensés par l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), un record en France, contre seulement 44 en 2008. Le sujet est devenu très médiatisé, en raison de ruptures portant sur des médicaments d'utilisation courante ou de première importance, comme des antibiotiques, des vaccins ou des anticancéreux.(...) Des tarifs trop bas de médicaments anciens peuvent en effet inciter les fabricants à limiter, voire arrêter leur production, et certains distributeurs à les revendre sur d'autres marchés européens offrant des tarifs plus attractifs. Ces "exportations parallèles" sont toutefois légales en Europe. Concernant les médicaments hospitaliers, le Leem préconise des appels d'offres systématiquement multi-attributaires pour les médicaments d'intérêt sanitaire et stratégique, afin d'éviter aux hôpitaux de dépendre d'un seul fournisseur, et d'améliorer la précision des volumes commandés et des calendriers de livraisons. >> Lire l'article complet sur le site de Challenges

Supply chain

Pourquoi l'entrepôt ne connaît pas la crise

Entre 2,5 milliards et plus de 3 milliards d'euros ont été investis en France, selon les différents baromètres (Arthur Loyd, JLL, Cushman & Wakefield, BNP Paribas Real Estate). La demande placée a représenté entre 3,5 millions et 4,1 millions de mètres carrés d'entrepôts, selon que l'on prend en compte les bâtiments à partir de 10 000 ou de 5 000 m². " Et 2019 s'annonce déjà comme une très belle année, se réjouit Diana Diziain, la directrice générale de l'organisme. Quatre opérations de plus de 60 000 m² sont attendues et d'autres pourraient voir le jour en fonction des délais d'instruction des dossiers administratifs. " >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle

Soignez votre supply chain, c'est stratégique !

Taux de croissance et de service en hausse, amélioration des stocks et de la productivité, réduction des délais de livraison et des coûts... La transformation de la supply chain orchestrée par bon nombre d'entreprises semble être, à les entendre, le remède adéquat à de multiples maux. Longtemps réduite aux flux physiques de la logistique, elle intègre bien d'autres flux, financiers et d'informations. Notamment considérée comme un simple poste de dépenses, serait-elle devenue un facteur de compétitivité ? "Le supply chain management permet une optimisation du fonctionnement de l'ensemble de l'entreprise, qui est rapidement palpable au niveau du chiffre d'affaires", répond Caroline Mondon, directrice générale de Fapics, association française de supply chain management. "Dans de nombreux secteurs, la bataille avec les concurrents a lieu sur le terrain de la supply chain. C'est bien de création de valeur dont il s'agit." La preuve par l'exemple avec cinq sociétés. >> Lire l'article complet sur le site de AETL

Panique sur les palettes en cas de Brexit dur

Plus de 3 millions de palettes se déplacent chaque mois entre le Royaume-Uni et l'UE et moins d'un tiers d'entre elles respecteraient les normes de l'OMC (Organisation mondiale du commerce). La grande majorité des palettes en bois ne sont pas conformes à la norme internationale NIMP 15, qui implique des traitements thermiques et un nettoyage spécifique pour éviter toute contamination, ainsi que des marquages précis. Les règles en la matière pour les échanges entre les États-membres sont en revanche beaucoup plus souples. (...) Selon de hauts responsables de l'industrie agroalimentaire au Royaume-Uni, une entreprise sur huit pourrait cesser ses activités si le Royaume-Uni quittait l'UE sans un accord de retrait. Outre cette crise de palettes à gérer, le Royaume-Uni devrait s'inscrire auprès de l'UE en tant qu'exportateur de pays tiers, et rien ne garantit que cela se fasse immédiatement. >> Lire l'article complet sur le site de Actu Transport Logistique

Six étapes pour une chaîne d'approvisionnement plus éthique et durable

Pour atteindre l'objectif d'une chaîne d'approvisionnement éthique et durable, ainsi que la capacité de suivre et de retracer les expéditions vers n'importe quel lieu, les entreprises devront activer la technologie appropriée. Les actions spécifiques à prendre incluent:
Réduisez les déchets en simplifiant les processus de la chaîne d'approvisionnement. Les chaînes d'approvisionnement peuvent être améliorées par des changements majeurs, mais il est plus courant de voir les résultats sous forme de petites améliorations itératives. De bonnes analyses et des rapports se combinent à l'apprentissage automatique pour améliorer continuellement les processus tout au long de la chaîne d'approvisionnement. Chaque changement qui réduit les déchets, accélère les livraisons ou améliore la qualité apporte une amélioration supplémentaire à la durabilité.
Assurer un approvisionnement éthique et introduire la transparence. Les responsables de la chaîne d'approvisionnement ont besoin de visibilité sur la manière dont les fournisseurs extraient ou produisent les matières premières afin de s'assurer qu'ils respectent les normes de durabilité. La technologie Blockchain est un moyen utile de capturer et de vérifier les pratiques d'approvisionnement des fournisseurs. Les appareils Internet des objets (IoT) peuvent surveiller et signaler les conditions de travail et les facteurs environnementaux. Les marchés peuvent également apporter de la transparence aux fournisseurs d'une entreprise. Plus ils deviennent interconnectés, plus ils sont visibles pour ceux qui y ont accès... >> Lire l'article complet sur le site de SupplyChainBrain


RSE

Apple intraitable sur la question écologique, même pour ses fournisseurs

Apple tient un rapport annuel sur ses engagements environnementaux. Financial Review a mis la main sur le rapport de l'année 2018. On y découvre que la firme de Cupertino a mis un terme à 20 des contrats qui l'unissaient à certains de ses fournisseurs parce que ceux-ci ne remplissaient pas les objectifs écologiques fixés par Apple. Au cours de l'année, Apple a mené 770 audits auprès des aménagements de ses fournisseurs, des centres logistiques et de réparation. 279 audits ont également été menés dans les fonderies et centres d'affinage. Apple est un énorme client que n'importe quel fournisseur est ravi d'avoir au vu des quantités commandées. La société de Tim Cook le sait très bien et profite de sa position dominante pour imposer sa vision à ses partenaires. Il est précisé qu'Apple ne joue pas de récompenses financières pour motiver ses partenaires à adopter sa vision environnementale. La firme a uniquement donné un délai à ses fournisseurs pour se mettre à ses normes. "Si un fournisseur refuse ou est incapable de répondre à nos exigences, nous mettons fin à nos relations commerciales avec lui", indique le rapport, selon Financial Review. >> Lire l'article complet sur le site de FrAndroid

Climat: un groupe d'investisseurs interpelle les géants de la restauration rapide

Après les énergies fossiles, c'est désormais l'élevage qui se trouve dans le viseur des investisseurs mondiaux. 80 d'entre eux, représentant un total de 6.500 milliards de dollars d'actifs gérés, ont interpellé les six géants de la restauration rapide - McDonald's, Yum ! (KFC), Brands international (Burger King), Chipotle, The Wendy's Company et Domino's Pizza - pour leur demander d'améliorer la durabilité de leurs filières d'approvisionnement en viande et produits laitiers. L'enjeu : amener ces groupes mondiaux à mieux contrôler leurs émissions de gaz à effet de serre , leur consommation d'eau et leur utilisation des terres. La production de protéines animales a en effet un impact important sur l'environnement . Mais à la différence d'autres secteurs fortement émetteurs, comme l'automobile par exemple, les groupes de restauration tardent à revoir leurs chaînes d'approvisionnement et à prendre en compte les objectifs de l'accord de Paris visant à limiter le réchauffement climatique. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Le principe de compensation carbone est-il efficace ?

Il existe un marché de compensation volontaire destiné à tous les acteurs qui veulent compenser sans y être contraints : particuliers, collectivités locales, petites et moyennes entreprises. Mais contrairement au marché étatique officiel, le marché volontaire n'est pas régulé par une autorité centrale, et de nombreuses entreprises offrent désormais de compenser ses émissions, avec des niveaux de garantie extrêmement variables. (...) En 2009, l'ONG Les Amis de la Terre a notamment publié un rapport critiquant la faiblesse des garanties de baisse des émissions proposées en échange de droits à polluer du MDP. Pour l'ONG, il est impossible de garantir l'additionnalité des projets. C'est-à-dire le fait qu'ils n'auraient pas pu voir le jour sans la compensation. Citant, par exemple, deux cents projets hydroélectriques financés en Chine par le mécanisme de développement propre, alors que le gouvernement chinois se tourne depuis des années de façon massive sur cette technologie et que l'hydroélectrique chinois croît chaque année, rendant inutiles les dépenses du mécanisme onusien. Un autre problème est que les promesses de réduction des émissions sont souvent surestimées. >> Lire l'article complet sur le site du Monde

Commande publique

L'acheteur peut reprendre l'analyse des offres en cas d'irrecevabilité de la candidature du titulaire pressenti

Le soumissionnaire arrivé premier dans l'ordre de classement des offres doit prouver avant la notification du marché qu'il ne tombe pas sous le coup d'une interdiction d'accès à la commande publique. Si tel est le cas, son offre est rejetée et c'est le candidat arrivé second qui devient titulaire pressenti. Mais au regard de la méthode de notation du critère financier mise en place, l'acheteur peut-il réanalyser les offres et modifier ainsi le classement initial ? Il s'avère que oui: l''acheteur peut procéder à une nouvelle analyse des offres tant que le marché n'est pas signé. >> Lire l'article complet sur le site de Weka

Selon la Cada, les factures d'un marché public sont des pièces communicables sous certaines conditions

Une facture liée à un marché public reflète-t-elle la stratégie commerciale d'une entreprise ? Voilà la question que devrait dorénavant se poser un acheteur public lorsqu'un candidat lui demandera de lui communiquer une facture d'un concurrent. Cette idée ressort d'un avis de la Commission d'accès aux documents administratifs (Cada), rendu en novembre 2018, à la suite de la saisine d'un concurrent évincé d'une procédure de consultation. >> Lire l'article complet sur le site du Moniteur

Quand Pierre Pelouzet félicite la mairie de Clamart

Par Pierre Pelouzet - Me´diateur des entreprises - "Le 21 fe´vrier, le maire de Clamart a signe´ la charte Relations fournisseurs responsables. La mairie de Clamart est le 2 000e organisme signataire de cette charte, le 2 000e a` s'engager dans la de´marche d'adoption de pratiques responsables vis-a`-vis de ses partenaires commerciaux. Qu'une collectivite´ locale signe la charte n'est pas anodin. Au travers de ses dix engagements pour des achats responsables, la charte participe a` la construction d'e´cosyste`mes intelligents ou` les notions d'e´quilibre et de partenariat reprennent leur sens. Par cette signature, un acheteur public s'en- gage dans un processus vertueux et une de´marche de progre`s vis-a`-vis de ses fournisseurs. De quoi concre´tiser e´galement sa volonte´ de favoriser le de´veloppement des TPE-PME par le de´veloppement de rapports durables et e´quilibre´s et un respect toujours plus strict des de´lais de paiement a` leur e´gard. >> Lire cette chronique sur le site de EcoRéseau

Fleet management

WLTP : des mesures de CO2 "pas assez fiables pour adapter la fiscalité"

Le nouveau test d'homologation WLTP a été conçu pour donner aux conducteurs une image plus réaliste du rendement énergétique et des émissions de CO2 d'un véhicule. Mais les résultats seraient encore trompeurs, selon de nouvelles données analysées par l'organisation européenne Transport & Environnement (T&E). "Le test sur les émissions de CO2 des voitures neuves donne des résultats peu fiables, ce qui le rend impropre à la fixation des taxes sur les véhicules , argumente l'association. Cela confirme les preuves de la Commission européenne, selon lesquelles les constructeurs automobiles manipulent le nouveau test WLTP pour réduire leurs émissions jusqu'à 2021 et ainsi faciliter la réalisation des objectifs de réduction de CO2 à l'horizon 2025. Les gouvernements devraient s'abstenir de baser les taxes sur le nouveau test et de préparer plutôt une refonte plus complète de la taxation des véhicules qui accélère l'adoption des voitures électriques", suggère-t-elle. >> Lire l'article complet sur le site de L'Automobile L'Entreprise

Euromaster et France PareBise unissent leur force sur le marché professionnel

Euromaster, le réseau de l'entretien automobile, s'est associé à France Pare-Brise, le spécialiste du vitrage, afin de proposer une offre de services unique aux gestionnaires des flottes de véhicules légers. Les clients professionnels d'Euromaster peuvent désormais bénéficier de l'ensemble des prestations développées par les deux partenaires au cours d'un seul et unique rendez-vous. L'intervention est organisée sous 48 heures après la réception de la demande. Elle peut être réalisée dans l'un des 730 centres des deux enseignes (400 ateliers pour Euromaster et 330 centres pour France Pare-Brise). Le nouveau partenariat permet à Euromaster d'enrichir le spectre des opérations d'entretien déjà proposées par le réseau (révision, freinage, climatisation, pneumatiques...) grâce au savoir-faire spécifique de France Pare-Brise (réparation ou de remplacement de vitrages). Le spécialiste du vitrage, de son côté, " va bénéficier de la puissance et de la qualité d'Euromaster pour diffuser ses solutions bris de glace auprès des gestionnaires de flottes et des conducteurs de véhicules professionnels ", explique Martial Lafont, directeur général de France Pare-Brise. >> Lire l'article complet sur le site des Echos


Travel management

Un voyageur refuse d'embarquer à bord d'un 737 MAX ?

Le voyageur en tant qu'employé sous contrat de travail de droit Français, peut faire jouer son droit de retrait s'il a un motif raisonnable de penser que certaines situations présentent un danger grave et imminent pour sa vie ou sa santé. Il peut, dans ce cas, interrompre ses activités tant que l'employeur n'a pas mis en place les mesures de prévention adaptées (Art. L. 4131-1 à L. 4131-4 du Code du travail). L'interprétation de la gravité et de l'imminence n'est pas évidente à quantifier et il y a pas mal de contentieux dans ce domaine. Mais avec l'EASA (European Union Aviation Safety Agency) qui a, entre autres, fermé l'espace aérien à ces machines nonobstant le fait que l'enquête du drame du vol ET302 n'en est qu'à son début, la dangerosité du 737 MAX serait facilement reconnue, et ce, même si la FAA (Federal Aviation Administration - Etats-Unis) ne donne que des recommandations d'exploitation (il y a, dans ce pays, 112 appareils en service).>> Lire l'article complet sur le site de Déplacements Pros

Travel management : "Il faut élaborer une politique voyage évolutive"

La mobilité ne cesse de gagner du terrain, tout comme les demandes auparavant uniquement réservées au BtoC : "On ne peut plus occulter la place qu'a pris Airbnb dans nos habitudes de voyage. La personne en déplacement souhaite désormais avoir accès aux mêmes offres que lorsqu'elle voyage pour du loisir". Une tendance à la personnalisation qui demande aux entreprises de s'adapter, d'être moins "bureaucratiques" dans les process et de porter plus d'attention à la "personne". "Le collaborateur doit être heureux de voyager, l'expérience doit avoir un impact positif sur lui et non l'inverse", confie Katy Bowling. Avant d'ajouter et de conclure : "Tout en gardant en ligne de mire que notre objectif premier est de permettre à la société de réaliser des économies et faire respecter notre politique voyages". >> Lire l'article complet sur le site de DéplacementsPros

Carrière / RH / Management

Recrutement des cadres 2019 : les hyper convoités... et les autres

Avec un taux de chômage de 3,8%**, cette catégorie de salariés est globalement privilégiée par rapport aux profils moins qualifiés. Mais une vue d'avion n'offre pas la précision de lecture d'un microscope. Un jeune diplômé écologue galèrera davantage qu'un CPO qui a roulé sa bosse. De même que n'importe quel cadre de 35 ans vs un collègue de 45 ans cumulant 20 ans d'expérience dans la distribution. Sur ce marché très polarisé, tout dépend d'une part du secteur d'activité, du métier et de la région convoités. Et surtout du nombre d'années d'expérience que le candidat affiche au compteur. >> Lire l'article complet sur le site de CadreEmploi

 
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